Avec les multiples provocations de Trump, la Corée du Nord ne sait plus trop quoi inventer pour riposter.

Trump envoie un tweet, Kim envoie un missile. Trump bouge un porte-avion, Kim menace de faire un essai nucléaire.

Mais à force de vouloir faire le malin, Kim risque simplement de faire passer ses menaces, pour des pétards mouillés.

Ça y est, me revoilà.

Je recommence avec une petite histoire qui partait d’une bonne intention. Mark Baumer, un jeune américain, parcourait le pays pour lever des fonds et sensibiliser la population aux effets du réchauffement climatique sur l’environnement. Il parlait de l’impact des gaz à effet de serre sur le climat.

Manque de bol, c’est un autre style d’impact qui l’a stoppé dans sa progression.

Au même moment, dans une autre ville américaine, une classe revivait le souvenir tragique des attentats du 11 septembre.

Un séjour à Guantanamo le remettra dans le droit chemin.

En pleine polémique sur l’avortement aux États-Unis, on en oublierait presque les condamnés à mort.

Apparemment, un de dernier à y être passé a bien dégusté et ça a choqué la populace.

« Parce que nous américains, on tue des méchants (noirs si possible) mais il faut que ce soit propre. C’est pas nous les monstres dans l’histoire. »

Alors ils injectent un petit produit avant, pour shooter le gars pour ne pas qu’il souffre en mourant. Et c’est ce produit qui est en pénurie car fabriqué par des européens qui sont contre la peine de mort. Bref, un beau bordel.

Mais heureusement, pour tout problème, il y a une multinationale qui a une solution.

En revanche, en Australie, ils n’ont pas ce problème. Les prisonniers se zigouillent entre eux.

Une autre version dirait : "Je voulais lui griller la cervelle". Vous rigolez à celle que vous voulez.